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18 mai 2016 3 18 /05 /mai /2016 18:57
DU FOU RIRE GARANTI

DU FOU RIRE GARANTI AVEC LE MONOLOGUE DE SAMIR BOUANANI AVEC LE "ON MAN/WOMEN SHOW" "METEZEOUEDJ FI 3OTLA" d'après le texte de Mourad SENOUCI ce Samedi 21 Mai 2016 à 14 heures au Cinéma El Djamal à Chlef (centre) - L'INVITATION EST GÉNÉRALE - BIENVENUE A TOUS ET A TOUTES !!!!!

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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 10:36

PREMIER AVIS

A TOUS LES AMOUREUX DES BELLES LETTRES ET AMIS DU CAFE LITTERAIRE DE CHLEF

M. Mohamed Boudia fera une vente-dédicace de son dernier livre, fraichement sorti des éditions El Ibriz sous la direction de Mme Samira Bendris et dont le titre est :

« Mohamed Boudia – Un homme hors du commun »

Le Dimanche 1er Novembre 2015 au Salon du Livre à Alger à partir de 14 heures

BIENVENUE A TOUTES ET A TOUS

DEUXIEME AVIS

Le 9 Décembre 2015, M. Mohamed Boudia, écrivain, président du café littéraire de Chlef et vice-président de l’Association Nationale Héritage Algérie, donnera une conférence à la bibliothèque du Palais de la Culture à Alger sur le thème de son nouveau livre « Mohamed Boudia – Un homme hors du commun » avec la participation des Editions El Ibriz sous la direction de Mme Samira Bendriss et ce, avec vente-dédicace

BIENVENUE A TOUTES ET A TOUS

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22 septembre 2015 2 22 /09 /septembre /2015 23:57

CAFE LITTERAIRE DE CHLEF
animé par Mohamed BOUDIA

iL EST PORTE A LA CONNAISSANCE DES ADEPTES DU CAFE LITTERAIRE DE CHLEF QUE CE DERNIER OUVRIRA SES PORTES LE SAMEDI 3 OCTOBRE 2015 AU NIVEAU DE LA MAISON DE LA CULTURE - ROUTE DU RADAR - CHLEF et ce, à 14 HEURES -

BIENVENUE A TOUS !

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 16:05

AVIS AUX INTERNAUTES


iL EST PORTE A LA CONNAISSANCE DES INTERNAUTES QUE LA VENTE-DEDICACE DU LIVRE " LES ADAGES A TRAVERS LES AGES" de Mohamed BOUDIA est reportée au SAMEDI 7 MARS 2015 à 14 H. au niveau du Siège de LA FONDATION "CASBAH" 84, Rampe Lounis hocine, ('ex-rampe vallée) Alger -
Nous nous excusons pour ce fâcheux contretemps indépendant de notre volonté. Merci de votre compréhension
Mohamed BOUDIA - Ecrivain - Président du Café Littéraire de Ch
lef -

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VENTE-DEDICACE DU LIVRE "LES ADAGES A TRAVERS LES ÂGES"

Publié le 24/02/2015 à 20:52 par boudia2007 Tags : livre

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19 décembre 2014 5 19 /12 /décembre /2014 19:25
CONFERENCE "LES ADAGES A TRAVERS LES ÂGES" par Med Boudia

CAFÉ LITTÉRAIRE DU 16 DÉCEMBRE 2014

Ce mardi 16 décembre, ce devait être le Dr Chamyl Boutaleb qui devait donner une conférence dont le titre était « Le parjure du 23 Décembre 1847 – Vérités sur l’Emir Abdelkader ». Un contretemps a fait qu’elle n’a pas eu lieu ce jour. Il fut remplacé par le président du café littéraire qui donna une conférence relative au patrimoine culturel immatériel oral. Il devait dire que ce patrimoine est une transmission de nos ancêtres par le biais de l’oralité et qu’il fallait le conserver par l’écriture comme l’adage qui dit : « les paroles s’envolent, les écrits restent ». Il devait en outre parler de l’étude sociologique de ces adages et dictons dans la région de Chlef. Il essayera de mettre en valeur l’étude sociologiques de ces adages qui présente deux facettes : « le positivisme et le négativisme ». En effet, le conférencier devait souligner qu’après l’inquisition en Espagne, l’état d’esprit des musulmans était au plus bas et certains adages et dictons négatifs ont commencé à ce moment-là. Il donna plusieurs exemples de proverbes et dictons tant dans le style négatif comme « djibou fahem lah la kra » Donne-moi quelqu’un d’intelligent même s’il n’est pas instruit. Cela tend à dire par là que le dicton dénigre complètement l’instruction. Un autre adage négatif : « sal moudjareb wa la tsal tbib » Demande conseil à un usager et non point à un médecin. Un troisième pour mieux étoffer le négativisme ; « rezk slimane idjih fel frache ». Par ce dicton nous sommes en train de faire le prosélytisme de la fainéantise.

Il citera encore plusieurs adages référant au positivisme tels que : « wajh el khrouf maârouf » - « khalli elbir baghtahe » - ma tzaoudjou hatta tchebhou » - et plusieurs autres dictons que j’éviterais de citer pour ne pas donner l’occasion au lecteur de se délecter de ces quelques exemples qui sont risibles par moments mais combien empreints d’une certaine morale qui donne à l’auditeur, l’impression de vivre, par tous les temps et périodes, l’impact de ces adages populaires. Le conférencier donnera plusieurs exemples d’historiettes pour expliquer le sens de certains de ces adages. L’assistance fut émerveillée par le nombre de dictons bien que le conférencier n’ait pas cité tous les adages en sa possession pour laisser le loisir à l’auditeur de chercher lui-même les adages dans son milieu proche.

Le conférencier axera son explication, surtout sur la morale qui se dégage de chaque dicton ou adage populaire. A la question que c’est un terrain battu que l’écriture de ces adages, le conférencier dira : « Ce n’est point la même chose, ce que j’ai fait, c’est une étude psychosociologique de ces adages et non point le listing de ces derniers. D’un autre côté, ces adages ont été écrits presque en trois langues : en arabe, en français, en lettres latines avec consonance dialectale avec l’explication de chacun de ces adages, étoffés par moments par des historiettes relatant les faits afférents à ces adages.

Mme Henni Zourgui Fatima devait nous conter, non point une histoire de science-fiction comme elle nous en a donné lecture par le passé mais elle a voulu lancer un message aux jeunes pour qu’ils fassent attention à ce qu’on leur propose tant dans le Facebook, dans les musiques ainsi que dans les revues et films car il y a là-dessous un matraquage publicitaire émanant de cercles occultes dirigés par des services secrets tels la CIA et le MOSSAD pour dévergonder les jeunes musulmans et les amener à dénigrer leur essence propre. Le président du café littéraire devait donner l’exemple de la destruction des tours jumelles qui n’est qu’une machination des services occultes dirigés par les initiés dans la magie noire, la numérologie et la kabbale juive. Melle Latifa, dans son intervention, devait mettre en garde notre jeunesse contre les messages publicitaires intempestifs qui ne reflètent en rien nos us et coutumes et qui tendent à dévoyer notre jeunesse pour mieux l’assimiler et l’asservir et la contrôler pour créer des discordes au sein de nos sociétés amazigho-arabo-musulmanes.

Mohamed Boudia

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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 15:01

LE CAFE LITTERAIRE DE CHLEF SIS ACTUELLEMENT AU CENTRE DES LOISIRS SCIENTIFIQUES - VISAGE A LA SALLE DE SPORT "CHAHID Me HAMED NASRI" ex-Cité Les Vergers - recevra DANS LES Prochains Jours:

Son Excellence, Le Colonel Hassan (Youcef Khatib), ex-commandant de la Wilaya IV Historique et give Une conférence sur la guerre de libération nationale - Des Que la date de sérums Retenue, Une annonce sérums Faite Dans Tous Les blogs de Mohamed Boudia -

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 12:58

CAFE LITTERAIRE DU 27 OCTOBRE 2014

Comme à son habitude de relever le défi de faire rayonner la culture dans notre ville El Asnam, dans la wilaya du même nom ainsi que sur tout le territoire national, le Café Littéraire de Chlef ne déroge pas cette semaine à ses habitudes culturelles. En effet, ce dernier a été l’hôte du grand professeur l’éminent Vincent Bertaud du Chazaud, architecte, historien en matière d’architecture contemporaine et moderne, professeur à la Sorbonne dans la chaire « histoire de l’architecture contemporaine et moderne, expert auprès de la cour d’appel de Paris, accompagné de sa fille Soraya Bertaud du Chazaud, elle-même Master II en architecture. Après avoir donné des conférences au niveau de l’université d’Oran, puis à l’université Hassiba Benbouali de Chlef, ils devaient se diriger sur Alger pour continuer leur périple de conférences au niveau du Centre Culturel Français pour se rediriger vers l’université de Tlemcen où les attendent avec impatience, les étudiants de la faculté du génie civil (option architecture). Pendant près de trois heures, le professeur Vincent n’a pas cessé de donner informations sur informations concernant l’architecture contemporaine avec photos et plans d’époque à l’appui et sur l’architecture moderne en Algérie. Il n’a pas omis de faire allusion au père des architectes modernes, Le Corbusier, le célèbre architecte qui construisit à un certain moment du 20ème siècle, la ville de Brasilia dans un style futuriste qui donnait à la ville un design propre à cette nouvelle ville qu’il voulait des plus modernes, ouverte sur l’environnement et les espaces. S’il a fait un rappel sur Le Corbusier, c’est surtout en venir aux architectes de souche algérienne, ses disciples, l’architecte De Maisonseul a bien voulu intégrer dans ses travaux pour la construction de l’aérohabitat d’El Madania et , en l’occurrence les jeunes architectes Roland Simounet et Louis Miquel à qui était dévolu le travail de recherche pour la construction d’un centre régional d’éducation physique et sportive polyvalent, mais qui devait en outre abriter une aire de théâtre tridimensionnel et d’un théâtre de verdure copié sur le théâtre antique roman. La tâche n’était pas facile. L’exemple était un complexe qui devait être érigé à El Asnam, victime du séisme du 9 Septembre 1954, détruite à plus de 80% en matière d’habitat et de commerce. Il fallait trouver le moyen de construire d’une manière antisismique et faire épouser le projet à la configuration géologique du terrain afin de ne pas porter atteinte à la nature. Ne pas « buldoozériser » le terrain comme le dit si bien Le Pr Vincent pour expliquer l’atteinte à la configuration de l’espace naturel, ce qui enlèverait de la beauté de la nature du site à construire. Prenant le pas après son père, Soraya ne manqua pas d’éclairer l’assistance composée d’hommes de culture, de médecins, de pharmaciens, d’architectes, d’experts fonciers, de professeurs universitaires, etc…, sur l’architecture du Centre Larbi Tebessi (excentre Albert Camus). Pourquoi Albert Camus ? Ce dernier a donné son avis sur la construction de la scène de théâtre du futur centre. Comme A. Camus décédait en 1960 à la suite d’un malheureux accident, et comme ce dernier a reçu le prix Nobel de Littérature en 1957, les autorités d’alors ont baptisé le Centre d’éducation physique et sportive au nom d’A. Camus pour lui rendre un hommage mérité en 1961. Actuellement, pourquoi Cheikh Larbi Tebessi ? C’est l’histoire qui le veut car ce chahid en la personne de Cheikh Larbi Tebessi avait peut-être les mêmes idées que feu Albert Camus et les autorités algériennes ont voulu pérenniser dans le temps ces deux hommes de grande valeur humaine pour les générations qui suivirent. Soraya devait dire que le Centre Larbi Tebessi était une place où rayonnait la culture dans la ville d’El Asnam. Il y avait des stages de moniteurs et animateurs de centre de vacances, des cours de musique, de théâtre, de marionnettes (n’oublions de dire une pieuse pensée pour le père de la marionnette Ali Boudriâ dit Maâmar pour ce qu’il a apporté à ce créneau et ce centre avait abrité le festival national et international de la marionnette. N’oublions pas aussi qu’il a abrité le festival du théâtre amateur pendant plusieurs années. On y faisait de la musique, de la peinture, des regroupements d’animateurs de centres aérés et de vacances, du dessin. Tout s’amalgamait à l’intérieur de cette structure. C’était la vie culturelle de la ville d’El Asnam dans le temps.

Melle Soraya Bertaud du Chazaud a agrémenté son élocution par des images au niveau de l’université Hassiba Benbouali ce qu’elle n’a pas pu faire au niveau du café littéraire à cause d’un problème technique. M. Vincent Bertaud du Chazaud n’a pas omis de parmi du théâtre de verdure, de la piscine, des terrains de sport, d’unités d’hébergement. Il devait insister sur le fait qu’il a été construit d’une manière antisismique et c’est peut-être pour cela qu’il a résisté au tremblement de terre du 10 Octobre 1980, alors que la ville d’El Asnam a été presque totalement détruite. C’est un ouvrage assez imposant construit dans un style moderne épousant la nature et le relief existant sans buldoozerisation de la nature environnante et réceptacle du projet.

Les débats ont été assez animés par l’assistance présente à l’université Hassiba Benbouali qu’au café littéraire. Des cadeaux symboliques ont été faits aux deux conférenciers qui ont été très émus par cette marque d’humanisme et de sincérité. Nous tenons à remercier ici, M. Hemaïdi Zourgui Mohamed, président de l’association « les amis du centre Larbi Tebessi » pour sa collaboration franche pour la réussite de ce café littéraire, sans oublier M Sayah Mohamed du Centre Larbi Tebessi de même que M. Kaddouri Abdelhamid, directeur du centre des loisirs scientifiques qui nous a prêté main forte pour le matériel technologique et la sonorisation. Un grand bravo pour tous les membres attitrés du café littéraire pour leur présence indéfectible au niveau de cette structure et de cette aire culturelle qu’ils sont en train de pérenniser dans le temps. Nous remercions par la même, M. le Wali pour son encouragement aux membres du café littéraire, M. le président d’APC ainsi que M. Hrache Abdelkader, vice-président d’APC pour leur contribution au rayonnement de la culture dans notre wilaya par le biais du café littéraire. Nous remercions par la même Mme Aït Saada née Slimani Eldjoumhouria, doyenne de la faculté des langues, M. Aït Djida Mokrane, M. Kassoul Mohamed, M. Guétarni Mohamed, pour leur présence indéfectible au niveau du café littéraire et n’oublions tous les professeurs de la faculté du Génie Civil et à leur tête M. Kassoul Amar, doyen de la faculté, pour leur concours à la réussite de ces conférences, tant au niveau de l’université qu’au niveau de la séance du café littéraire de ce Lundi 27 Octobre 2014. Après le dîner des hôtes à l’hôtel « Hadef », des présents symboliques ont été offerts aux deux conférenciers. Le lendemain, une visite a été programmée au centre Larbi Tebessi en présence du chef de projet de rénovation du centre, du président du café littéraire ainsi que de M. Hemaïdi Zourgui Mohamed, président de l’association « les amis du centre Larbi Tebessi ».

Mohamed Boudia

CAFE LITTERAIRE DU 27 OCTOBRE 2014 ANIME PAR LE Pr Dr VINCENT BERTAUD CAFE LITTERAIRE DU 27 OCTOBRE 2014 ANIME PAR LE Pr Dr VINCENT BERTAUD
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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 16:20

CAFE LITTERAIRE DU 7 JANVIER 2014

M. Medjdoub Ali, écrivain, M. Mohamed Boudia ainsi que M.Kamoumia Mohamed, étaient là à attendre Mme Leïla Aslaoui qui devait venir ce jour, sur invitation du Café Littéraire de Chlef, pour une conférence et vente-dédicace de ses deux derniers romans (« Lambèse, mon destin » et « Pour tout ce que tu m’as appris »), pour la recevoir, en grande dame, au café littéraire de Chlef. Avant de passer à la conférence elle-même, je crois qu’il est ingénieux de vous donner un aperçu de la vie sociale, professionnelle et culturelle de Mme Leïla Aslaoui née Hemmadi qui est venue accompagnée de sa sœur Mme Hemmadi. Elle est née le 2 Septembre 1945 à Alger. Elle fréquenta la médersa de Laghouat en 1950, le lycée Frantz Fanon à Alger en 1962. Elle obtint son bac philo puis sa licence de droit en 1968. Diplômée de l’institut des sciences politiques en juin 1967. Elle fit carrière comme magistrat dès 1968 et plusieurs postes de responsabilité (juge-conseiller et présidente de chambre à la cour d’appel. Conseillère à la cour suprême dès 1981, chargée de la communication au cabinet du ministre de la justice, ministre de la jeunesse et des sports sous le gouvernement Ghozali en Juin 1991/juillet 1992, membre du comité de parrainage présidé par Ahmed Bouchaïb et mis en place par le HCE avant de démissionner publiquement. Elle fut condamnée à mort par le GIA le 2 Juillet 1993. Elle a activé au sein de l’ANFVT (Association Nationale des Femmes Victimes du Terrorisme), chargée de mission auprès de Rédha Malek puis secrétaire d’état chargée de la solidarité nationale dans le gouvernement Sifi avant de démissionner en septembre 1994, tout juste un mois après, son mari, chirurgien-dentiste est assassiné dans son cabinet à l’arme blanche. Elle intervient souvent dans la presse sur des questions juridiques et sociales. Elle est l’auteure de plusieurs livres et romans de réflexion et de combat pour l’indépendance de la justice et contre la barbarie de l’intégrisme. Le 27 décembre 1995, elle siège au conseil de la nation désigné au titre du tiers présidentiel et se retire de la présidence de l’ANFVT le 8 novembre 1998. Parmi ses écrits nous pouvons citer : « Etre juge », « Dame justice », « Réflexions au fil des jours », « Devises de justice », « Lambèse, mon destin », « Pour tout ce que tu m’as appris », etc…

Juste après le déjeuner, Mme Leila Aslaoui, devait visiter la galerie de la bibliothèque de wilaya « Med Mahdi » à Chlef où étaient exposés des tableaux qui reflètent une nouvelle forme de peinture au sable qui est de la création de l’artiste-peintre, Tounsi Mustapha.

L’animateur du café littéraire, M. Saâdoune Bouabdellah, devait donner en ouverture la parole à M. Dahmani Djilali qui remit un présent à Mme Leila Aslaoui de la part de M. le Directeur de la culture, M. Amar Benrebiha, empêché. Ce fut en suite au tour de M. Boudia Mohamed, président du café littéraire de souhaiter la bienvenue à Mme Leila Aslaoui puis lui donna la parole.

Mme Leila Aslaoui a commencé par présenter ses deux derniers-nés « Lambèse, mon destin » et « Pour tout ce que tu m’as appris ». Elle dira que le premier relate l’histoire d’un patriote et d’un terroriste qui avait agacé et injurié ce dernier en voulant porter atteinte à son intégrité fut interné à Lambèse, une sinistre prison qui était réservée à nos valeureux moudjahidines par le colonialisme et regrettant que cette dernière puisse devenir l’hôte de ce valeureux patriote qui n’a fait que se défendre. Elle ajoutera qu’elle n’est pas contre la concorde nationale mais qu’elle ne conçoit pas qu’on accorde le pardon à quelqu’un qui ne le demande pas et par la suite, se dandine en faisant fi de toute éducation sociale, restant menaçant pour la société qui l’a pardonné. Pour ce qui est de son deuxième roman. Elle dit : « J’avais le devoir d’écrire ce livre en souvenir de ma mère qui était exceptionnelle car je lui devais bien cela pour nous avoir élevé, mes frère et sœur et moi-même alors qu’elle fut veuve dès son jeune âge. Je raconte son histoire car elle le mérite et c’est trop peu pour lui rendre tout ce qu’elle nous a appris de la vie. Elle devait insister sur le devoir de sa mère de les élever dans les valeurs ancestrales de notre pays et de notre peuple.

Durant les débats où M. Medjdoub Ali, écrivain, journaliste et chirurgien-dentiste de profession, a excellé dans ses questionnements pour avoir une idée très précise de la personnalité de l’auteure. M. Sahli Kamel devait lui aussi poser des questions précises sur le cursus, surtout professionnel de Mme Leila Aslaoui qui s’est fait un devoir de répondre à toutes les questions qui lui étaient posées par l’assistance. Ce fut au tour de M. Belhanafi qui insista sur le fait que Mme Aslaoui était une battante et qu’elle méritait toute notre considération. Puis ce fut le tour de M. Abdi Moussa, député, de vanter les mérites de cette dame et de la classer dans le sillage d’ « El Khansa’e » en essayant de faire valoir nos valeurs musulmanes dans le coran pour la réconciliation et pour le pardon. Mme Leila Aslaoui, après avoir remercié M. Abdi Moussa, devait dire : « Je ne suis nullement contre la réconciliation nationale mais bien au contraire, seulement, je ne suis pas d’accord avec le processus utilisé pour arriver à cette réconciliation nationale et on ne peut pas pardonner à quelqu’un qui fait fi de votre pardon ». Melle Bouchakor Izdihar devait poser une question sur le pourquoi de l’écriture d’urgence ou d’actualité à laquelle Mme Aslaoui a répondu succintement en disant que l’écrivain est par moment tenu de suivre les évènements et c’est un peu son déclic pour l’écriture d’urgence. Pour clore le débat, Mme Leila Aslaoui devait dire : « Je n’ai aucune animosité envers quiconque et je sais pardonner à qui le demande ».

Mohamed Boudia, président du café littéraire devait clôturer cette séance en invitant tout le monde à revenir égayer par leur présence, cette agora culturelle pour mieux nous entendre, nous comprendre et pouvoir discuter de hommes de culture et poètes de la région et de notre pays en général, en leur disant que prochainement, le café littéraire sera l’hôte d’un invité de marque en la personne de M. Mohamed Magani, Dr ès lettres, enseignant à la faculté des sciences de la communication à Alger et président du PEN international, club Algérie à Londres.

Dès la fin du discours du président du café littéraire, toute l’assistance se rua vers le stand où étaient exposés les livres pour les présenter à Mme Leila Aslaoui, pour une dédicace de la main propre de l’auteure. A la fin de la dédicace, un bouquet de fleurs naturelles fut offert à la « dame de fer » en la personne de Mme Leila Aslaoui par Mohamed Boudia et Kiouar Mohamed Baroudi et qui lui fut remis par le moudjahid Mohamed Benayad.

Un geste en faveur des adeptes du café littéraire a été fait par le collectif du journal, en la remise du numéro 5 du journal « le chélif » gratuitement.

Mohamed Boudia

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16 février 2014 7 16 /02 /février /2014 16:11

41ème Cross National du Chahid « Ahmed Klouche »

Cette 41ème session du Cross National « Chahid Ahmed Klouche » a été sponsorisée par la Sonelgaz à hauteur d’un milliard de centimes. Pour cette session, une affluence des autorités tant locales que ministérielles étaient présentes pour rehausser le prestige de ce cross qui n’est plus à faire grâce aux amis et compagnons du Chahid « Ahmed Klouche ». Cette nouvelle édition s’est déroulée sur un nouveau parcours situé à la sortie Ouest de la ville de Chlef. Parmi les personnalités présentes, d’anciennes gloires de l’athlétisme algérien telles Benyettou, Harek (JO de Moscou), Morsli, Mme Salem, Merzoug, Gnaoui (compagnon de Klouche), Gouasmi, Kacemi. Nous avons enregistré parmi les autorités, M. Bouras, président de la FAA, Mohamed Teguia, président de l’apc de Chlef, le secrétaire général de la wilaya, le directeur de la jeunesse et des sports de Chlef, le député Mohamed Hamouni, le Directeur du Ministère de la jeunesse et des sports, Mr Tiguelti, directeur de la Sonelgaz nord.

Les courses ont donné les résultats suivants:
Minimes fill
es

1-kharroubi amina (tachta, ain defla) 2- gourari amina (tiaret) 3-chetouane khaoula (ain defla)

Minimes garçons

1-dellal sofiane (chlef) 2-khelifa aymane (djelfa) 3- benkhadou mohamed (ain Cadettes

1-kharoubi nora (ain defla) 2-houati sarah (tlemcen) 3- maarouf amina (ain defla)

Cadets

1-bouziane toufik (ain defla)
2-saidia ahmed (el eulma)
3-zergueras mohamed (CROM chlef)
Juniors garçons 1-hadjersi takieddine (tlemcen) 2-slimani ahmed (CROM chlef) 3-hadjlaoui aissa (el attaf)

Juniors filles 1-soubhane hadjer (BB arriredj) 2-chema ryma (BBarriredj 3-yahi sabrina (Ain defla) Seniors filles

1-ait salem souad (BBA) 2-bouderbal malika (protection civile alger) 3-mahi nawal (bedjaia)

Seniors garçons 1- bensaidi aek (BBA) 2-khouas rabah (EN militaire) 3-laouèche mahdi(CNN alger)

Plus de 1200 athlètes ont participé à ce challenge qui est devenu un lieu incontournable pour tous les crossman’s. La sonelgaz était présente de par son sponsor et de par la sensibilisation des acteurs et des spectateurs de ce challenge sur les risques encourus par les citoyens par la perte du dioxyde de carbone. Mme Aoula, responsable de la cellule de communication ainsi que M. Medjamia, ingénieur auprès de sonelgaz ont dressé un stand d’information pour distribuer des prospectus liés à l’utilisation des appareils de contrefaçon et les risques encourus par le citoyen. Revenons au sport : L’équipe militaire s’est imposée à ce challenge, comme chaque année d’ailleurs et les dames de Bordj Bou Arreridj se sont illustrées durant ce challenge. D’après l’ancien recordman du 1500 m, M. Morsli, le niveau de l’athlétisme reste très faible malgré les sommes dépensées. L’Algérie devrait avoir une dizaine, sinon plus, de champions d’envergure internationale. M. Teguia, président de l’Apc de chlef nous informe qu’une assiette a été dégagée pour l’implantation d’une nouvelle piste de cross située à la sortie ouest de la ville de Chlef qui sera dotée de toutes les commodités et permettant aux athlètes de se préparer dans de bonnes conditions.

Mohamed Boudia

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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 21:18
QUI SE SOUVIENT D'EL ASNAM DU 10/10/1980

Cette journée commémorative du séisme
meurtrier d’El Asnam du 10 Octobre 1980 est passée sous silence, comme on dit
dans un dicton arabe « MARRA MAR EL
KIRAM » sur tout ce qu’a subi la population asnamie ce terrible jour où
elle a vu tous ses espoirs s’envoler dans un nuage de poussière. En effet, que
reste-t-il d’El Asnam, sinon poussière et amnésie ! D’aucuns diront que
c’est la vie, mais est-ce que l’on doit oublier ces milliers de personnes qui
ont perdu la vie, enterrées dans des fosses communes, la majorité du temps. Qui
se souvient d’eux ? Qui aurait la décence d’avoir une pieuse pensée pour
eux ? Qui récitera une prière en leur honneur ce 10 Octobre 2013 ?
Personne ! Ni autorités locales, ni médias, ni même peut-être les parents
de disparus. C’est tellement misérable et mesquin d’avoir oublié cette journée
qui a endeuillé toute une population de plus d’un million d’êtres humains dont
des milliers nous ont quitté pour toujours un certain 10 Octobre 1980 !
Trente-trois déjà ! Presque la moitié d’une vie moyenne, hantée par des
cauchemars de cris de parents, d’amis, de frères et sœurs, emportés à la fleur
de l’âge par cette terrible catastrophe qui a endeuillé tout le pays. Malgré la
solidarité nationale et internationale, les habitants d’El Asnam, après être
déracinés, vivent toujours dans des baraques préfabriquées insalubres et
portant atteinte à leur santé, tout au fil des ans, inexorablement. Leur santé
est minée. On leur a proposé des solutions rocambolesques pour se départir de
leur taudis plein d’amiante et d’insectes ramenés dans le bois de l’étranger.
Qu’ont-ils fait pour subir encore les marasmes des dirigeants par le déni de
ces derniers concernant leurs droits en tant qu’Algériens et en tant qu’êtres
humains.
Doivent-ils quémander leurs droits et à Qui ? Je n’en dirais pas
plus.

A tous les asnamis, je demanderais
seulement qu’ils aient une pieuse pensée pour leurs disparus et une gerbe de
fleurs ne coûterait rien pour leur rendre hommage et prier pour eux en demander
à Dieu de les accueillir dans Son vaste Paradis et de les envelopper de Sa
Miséricorde

A DIEU NOUS APPARTENONS ET A LUI NOUS
RETOURNONS
! ALLAH
YARHAM MAOUTA EL MOUSLIMINE DJAMI3A
NE!

Mohamed Boudia

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